mercredi 2 mai 2018

James Sacré - revue Europe



1.      « La relation, le poème. Des gestes rythmés en fable », Europe n° 1069 (dossier « James Sacré »), mai 2018, p. 175-177.
2.      « Je m’en vais continuer de m’en aller dans les mots. Entretien avec James Sacré », Europe n° 1069 (dossier « James Sacré »), mai 2018, p. 178-187.

3.      « Avec James Sacré, le poème donne la main », Europe n° 1069 (dossier « James Sacré »), mai 2018, p. 198-206.

Voir le sommaire du numéro ici : https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2018/04/Livret-Didi-Huberman-R.pdf
Comptes rendus :
- Antoine Emaz sur Poézibao https://poezibao.typepad.com/poezibao/2018/06/note-de-lecture-james-sacré-dossier-de-la-revue-europe-par-antoine-emaz.html
- L'Humanité du 3 mai 2018 par Nicolas Dutent : https://www.humanite.fr/lor-des-images-la-caresse-du-poeme-654770
- En attendant Nadeau Si nous étions alors à la lisière de la poésie, Europe s’en rapproche dans la deuxième partie, consacrée au poète James Sacré, un de ces « intempestifs qu’on peine toujours à ‟caser” dans une période ou dans une école », selon Serge Martin. Poète mais aussi essayiste, James Sacré inscrit sa poésie dans le sillage du silence, de ses « errances », de l’énigme, et d’une certaine forme de prosaïsme. Mais nulle « sacralisation altière de la poésie » : les poèmes de James Sacré font la part belle au mal dit, à la saleté et l’obscénité (voir l’article d’Alexis Pelletier), aux détails imprévus, au monde paysan. Après la reprise en 2016 de trois livres de James Sacré dans la collection « Poésie/Gallimard », Europe contribue à la reconnaissance d’une œuvre trop méconnue en dehors des cercles resserrés de ses pairs et du monde universitaire. Elle nous encourage à lire et relire une poésie accueillante et généreuse, où « le poème donne la main (le corps) » (Serge Martin). J. B. (https://www.en-attendant-nadeau.fr/2018/07/03/revues-13-philosophoire/)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.