samedi 8 décembre 2018

Le poème, relation de voix : une activité critique

« Le poème, relation de voix : une activité critique » dans Christine Boutevin, Nathalie Brillant Rannou, Gersende Plisonneau (dir.), A l’écoute des poèmes Enseigner les lectures créatives, Bruxelles, Peter Lang, coll. « Théocrit », 2018, p. 23-39.

On peut commander l'ouvrage ici : https://www.peterlang.com/view/title/62413


On peut lire l'article ici : https://ver.hypotheses.org/3059



mercredi 7 novembre 2018

lundi 20 août 2018

Entretien autour de Ghérasim Luca

« Continuer avec Ghérasim Luca » (entretien de Philippe Païni avec Serge Martin reprenant l’entretien public du 8 juin 2018 à l’Institut du monde anglophone – Paris 5e, autour du livre Ghérasim Luca, une voix nflammable) sur le site Poézibao : http://poezibao.typepad.com/files/entretien-philippe-païni-et-serge-martin-sur-gherasim-luca.pdf

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samedi 2 juin 2018

Je n’enseigne point, je raconte. La voix, la relation : réflexions théoriques et didactiques. Avec Dany Laferrière et Gérard Noiret

Serge Martin, "Je n’enseigne point, je raconte. La voix, la relation : réflexions théoriques et didactiques. Avec Dany Laferrière et Gérard Noiret", revue Carnets n° 8 ("Du français en cause aux causes du français"), 2016.
URL : https://journals.openedition.org/carnets/1926


Une poétique et une didactique des relations de voix

Serge Martin, "Une poétique et une didactique des relations de voix", revue en ligne Carnets (Association portugaise d'études françaises) n° 13 ("Corps, rythmes et voix: enjeux littéraires et artistiques"), 2018.

Cet article reprend la conférence d'ouverture du colloque tenu à Aveiro en octobre 2017.


URL : https://journals.openedition.org/carnets/2651



vendredi 1 juin 2018

Ghérasim Luca, une voix inflammable aux éditions Tarabuste

Serge Martin, Ghérasim Luca, une voix inflammable, Saint-Benoît-du-Sault, éd. Tarabuste, 2018.

Un essai de 240 p.

Ghérasim Luca (1913-1993) est un grand singulier du XXe siècle : inassignable et irréductible, son oeuvre-vie est entièrement dans l’époque et à contre-époque. C’est pourquoi elle continue à nous toucher. elle refait nos relations : nos histoires et nos liaisons. Dire et voir, s’entendre et s’aimer ne sont plus pareils après les cubomanies ou les ontophonies, si l’on veut bien accepter ces désignations, pour les tableaux et les poèmes, proposées par Luca lui-même. Plus encore, l’oeuvrevie de Luca est l’invention continue de ce que peut faire un poème et un tableau : et cela change tout du langage et de la vie, cela les met l’un dans et par l’autre. Pour la présentation qui suit, on ira immédiatement vers la définition-valeur du poème et de l’art prise à son "autodétermination" : s’asseoir sans chaise. Manière de tenir le corps et le langage au plus fort avec le poème dans tous ses états, dans et par les mouvements cubomaniaques et ontophoniques qui deviennent nos expériences : voir et se voir, lire et se lire, vivre et s’aimer… avec Ghérasim Luca".



On peut commander à cette adresse : http://www.laboutiquedetarabuste.com/fr/collections/nouveaux-points-de-vue/martin-serge-gherasim-luca-une-voix-inflammable/22

RECENSIONS :

1. par Laurent Mourey sur Poézibao le 9 juillet 2018 : http://poezibao.typepad.com/poezibao/2018/07/note-de-lecture-serge-martin-ghérasim-luca-une-voix-inflammable-par-laurent-mourey.html

2. un entretien avec Philippe Païni publié le 20 août 2018 sur Poézibao :
https://poezibao.typepad.com/poezibao/2018/08/entretien-entre-philippe-païni-et-serge-martin-autour-de-gherasim-luca.html

3. par Yan Miralles dans le Français aujourd'hui n° 203, Armand Colin, décembre 2018, p. 170-172.

4. une émission de radio : France Culture, "la compagnie des poètes" le 14 décembre 2018, 15-16 heures : https://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite/gherasim-luca-heros-limite

5. Guy Perrocheau sur Facebook le 26-12-2018: Ce livre est une expérience de lecture qui nous met l’oreille sur l’avenir, en nous exerçant à une pratique de la dissociation des idées, et par exemple entre performance et performatif, entre métaphysique de l’indicible et indicible du poème, entre rituel des répétitions et reprise par le continu corps-langage, entre oralisation et « théâtre de bouche » etc… jusqu’à l’inimaginable de la rime et de la vie…Tout se tient dans cette expérience de lecture et nécessite un engagement d’un faire de la pensée qui est un inaccomplir, une « relation dans et par le langage qui invente « un corps léger ». La force de ce livre est de créer de l’en-avant et de l’inassignable. Deleuze disait que Luca était pour lui «une découverte absolue ». Ton livre, Serge, nous lance en plein dans le tangage d’un faire-société par l’épopée d’une voix, sans cesse à porter dans sa propre voix.

mercredi 2 mai 2018

James Sacré - revue Europe



1.      « La relation, le poème. Des gestes rythmés en fable », Europe n° 1069 (dossier « James Sacré »), mai 2018, p. 175-177.
2.      « Je m’en vais continuer de m’en aller dans les mots. Entretien avec James Sacré », Europe n° 1069 (dossier « James Sacré »), mai 2018, p. 178-187.

3.      « Avec James Sacré, le poème donne la main », Europe n° 1069 (dossier « James Sacré »), mai 2018, p. 198-206.

Voir le sommaire du numéro ici : https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2018/04/Livret-Didi-Huberman-R.pdf
Comptes rendus :
- Antoine Emaz sur Poézibao https://poezibao.typepad.com/poezibao/2018/06/note-de-lecture-james-sacré-dossier-de-la-revue-europe-par-antoine-emaz.html
- L'Humanité du 3 mai 2018 par Nicolas Dutent : https://www.humanite.fr/lor-des-images-la-caresse-du-poeme-654770
- En attendant Nadeau Si nous étions alors à la lisière de la poésie, Europe s’en rapproche dans la deuxième partie, consacrée au poète James Sacré, un de ces « intempestifs qu’on peine toujours à ‟caser” dans une période ou dans une école », selon Serge Martin. Poète mais aussi essayiste, James Sacré inscrit sa poésie dans le sillage du silence, de ses « errances », de l’énigme, et d’une certaine forme de prosaïsme. Mais nulle « sacralisation altière de la poésie » : les poèmes de James Sacré font la part belle au mal dit, à la saleté et l’obscénité (voir l’article d’Alexis Pelletier), aux détails imprévus, au monde paysan. Après la reprise en 2016 de trois livres de James Sacré dans la collection « Poésie/Gallimard », Europe contribue à la reconnaissance d’une œuvre trop méconnue en dehors des cercles resserrés de ses pairs et du monde universitaire. Elle nous encourage à lire et relire une poésie accueillante et généreuse, où « le poème donne la main (le corps) » (Serge Martin). J. B. (https://www.en-attendant-nadeau.fr/2018/07/03/revues-13-philosophoire/)